Résultat de la recherche
Manifester son bonheur est un devoir ; être ouvertement heureux donne aux autres la preuve que le bonheur est possible.
Les scribes et les pharisiens observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ils auraient ainsi un motif pour l’accuser.
Rechercher un motif pour accuser, voilà la plus terrible des maladies de l’âme.
Cette maladie ne vise pas seulement telle ou telle personne, elle est en mesure de pénétrer dans la culture ambiante et devenir un obstacle à la foi en Notre Seigneur Jésus-Christ.
Un premier danger : le rationalisme. Il se défini par une attitude qui affirme que Dieu ne peut pas exister, ou ne peut se révéler de la façon dont la religion l’enseigne. Dans sa forme la plus radicale, le rationalisme refusera tout élément surnaturel ou toute vérité qui ne se pliera pas à la raison humaine. Par exemple, une personne rationaliste pourrait lire les évangiles en tentant d’y expliquer tous les miracles opérés par Jésus de façon purement naturelle ou psychologique. Elle pourrait même tenter de lire la Bible en ignorant les passages qui contiennent des miracles. Loin de lire les textes sacrés selon la Tradition, certains rationalistes feront un usage idéologique des saintes Écritures, ils vont tenter de récupérer ce qui « fonctionne » avec leur idéologie (que ce soit le marxisme, le syndicalisme, le pacifisme…) et tout simplement ignorer le reste qui s’oppose cette même idéologie.
Dans notre journée, demandons à Dieu de purifier notre intelligence pour demeurer attacher à la foi chrétienne qui a produit des saints, pour se faire nous aurons à cœur de répéter l’acte de foi « Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que Vous avez révélées et que Vous enseignez par Votre Sainte Église, parce que vous ne pouvez ni Vous tromper ni nous tromper ».
Saint Jean-Paul II et le pape Benoit XVI pointaient avec vigilance un autre danger pour la vie de foi : il s’agit du relativisme. Le relativisme n’est pas fondamentalement équivalent à la pluralité des opinions, ni à la démocratie et à son régime de délibération. Le relativisme est le refus d’envisager l’existence d’une vérité absolue ; dans les mœurs et les règles démocratiques, il se signale comme la possibilité et la prétention à tout soumettre à la discussion ; dans ce système, la laïcité n’est plus une distinction entre le pouvoir temporel et spirituel, mais une arme au service de la réfutation résolue et systématique du sacré. Petit à petit l’amour pour le Christ risque de se refroidir.
À l’inverse, nous sommes appelés à renouveler continuellement notre amour pour le Christ grâce à l’acte de charité « Mon Dieu, je Vous aime par-dessus toutes choses, de tout mon cœur, de toute mon âme et de toutes mes forces, parce que Vous êtes infiniment parfait et souverainement aimable. J’aime aussi mon prochain comme moi-même pour l’amour de Vous. »