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Lorsque vous rencontrez une personne trop lasse pour vous donner un sourire, laissez-lui le vôtre.
Car nul n'a plus besoin d'un sourire que celui qui n'en a plus à offrir
Les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées.
Alors que nous sommes très sensibles aux honneurs, aux titres, aux médailles ou aux diplômes, lui n'a rien à faire de tout cela. Il est Maître et Seigneur, pourtant. Mais il n'a pas besoin de le rappeler tout le temps, il n'a pas de complexe d'infériorité ou de syndrome de l'imposteur, il sait très bien qui il est, et ce n'est pas du monde qu'il tient ses titres, mais de Dieu son Père, le seul qui compte.
Alors c'est sans façons qu'il accomplit la volonté de ce Père qui, depuis qu'il nous a créés, ne cesse de nous donner la vie, l'existence et l'être. Pour que nous comprenions qui est Dieu, pour que nous comprenions qui il est, lui, Jésus, il prend la place de l'esclave qui lave les pieds des convives.
Parce que c'est ça, en vérité, que Dieu fait pour nous. On l'imagine souvent tout-puissant, exigeant, avec ses commandements, ses jugements, ses emportements contre nous et les punitions qu'il nous réserve. Que c'est mal le connaître !
Ses commandements sont des conseils, ce que l'on prend pour des jugements ne sont que la conséquence de nos actes, et les punitions ne sont rien d'autre que les fruits du péché auquel nous avons consenti. Dieu ne nous condamne pas, il nous défend. Ce n'est pas un accusateur, mais notre avocat. Il ne cherche pas notre perte, mais notre conversion, afin que nous cessions de choisir la mort et que nous choisissions la vie qu'il veut nous donner en plénitude.
Ce que nous avons du mal à comprendre ou à accepter, c'est que les malheurs qui sont les nôtres ne viennent jamais de Dieu, mais du diable et de notre collaboration avec lui. On a tendance à tout attribuer à Dieu, mais là où on se trompe, car aucun mal ne nous vient jamais de lui.
Seulement voilà, il nous a créés libres, parce que c'est la condition pour que nous soyons capables d'aimer, et si nous choisissons d'utiliser notre liberté contre elle-même, pour devenir les esclaves du péché, nous sommes libres de le faire, pour aussi stupide que ce soit.
C'est pourquoi nous ne sommes pas tous purs, ou pour mieux dire, nous ne le sommes jamais pleinement, parce que nous avons avec le mal des connivences qu'il nous coûte d'abandonner.
Aujourd'hui, le Fils de Dieu est à genoux, à nos pieds. Le laisserons-nous nous purifier de nos péchés ?