Aaaaah l'amour !

Aaaaah l'amour !

Voici quelques statistiques amoureuses très parisiennes d'il y a quelques années mais toujours d'actualité, on l'imagine... (merci "my little Paris" !)

14 célibs en moyenne dans une rame de métro ; à quelle station trouve-t-on le plus de célibataires ; 982 532 cœurs à prendre intra-muros… Et puis après quelques sondages et épluchages de chiffres, le top des phrases que mesdames détestent après une rupture. Bref, un reflet du monde d'aujourd'hui ?  

Certes il faut trouver le bon, et ce n'est pas toujours facile. Ne jamais perdre espoir. Il faut prier, se respecter, se concerter et comprendre que l'amour humain comme les devoirs conjugaux font partie de la vocation chrétienne de la grande majorité d'entre nous. L'on dit souvent que pour être divin il faut d'abord être très humain, à l'image du Christ. Il en est de même de l'amour. Il faut le dire : le mariage est un chemin divin sur la terre. L'amour est très humain, et engagé dans le mariage, il devient divin. Mais pour continuer à être divin après le mariage, il doit aussi être très humain dans le respect de chacun des 2 époux, dans l'amour, et l'ouverture à la vie. 

Le mariage est fait pour permettre à ceux qui le contractent de s'y sanctifier et de sanctifier les autres à travers lui : pour cela les conjoints reçoivent une grâce spéciale que confère le sacrement institué par Jésus-Christ. Celui qui est appelé au mariage trouve dans cet état — avec la grâce de Dieu — tout ce qui est nécessaire pour se sanctifier, pour s'identifier tous les jours davantage à Jésus-Christ et pour amener au Seigneur les personnes avec lesquelles il vit, et notamment les enfants, fruits de l'amour même.
Ajoutons que les époux sont les ministres et la matière même du sacrement du mariage, comme le pain et le vin sont la matière de l'Eucharistie.

Alors respectons et aimons le mariage chrétien, et souhaitons à chacune et chacun le meilleur, trouver sa voie, mariage ou célibat ! Sainte famille, priez pour nous ! 

Et bon week-end de l'Epiphanie !

Yvonnette, Carpe Deum