
saint Marc
C’est dans la maison de la mère de Marc que Pierre se réfugie à sa sortie de prison, à Jérusalem. C’est lui qui s’enfuit tout nu lorsque les soldats arrêtent Jésus au Jardin des oliviers. Il est le cousin de Barnabé. Paul et Pierre parlent de lui dans les lettres qu’ils écrivent et qui nous sont parvenues. Il écrit l’Évangile qui porte son nom, le plus court. Avec un langage très populaire et des récits réalistes. On sent l’implication de Pierre, par exemple, dans la narration de la Passion. Ce chapitre comporte soixante-douze versets. Parmi eux, vingt-deux nomment Pierre ! Il est envoyé à Alexandrie, dont il devient le premier évêque. Il y meurt martyr en l’an 67, battu à coups de massue. Le bûcher réservé pour sa dépouille s’éteint sous l’effet d’une pluie miraculeuse. Il est le patron de Venise, mais aussi des notaires, des verriers.
Dialogue rapporté par saint Marc :
« – Mais alors, qui peut être sauvé ? Jésus leur dit : – Pour les hommes, impossible, mais non pour Dieu : car tout est possible à Dieu. »
Courte prière à saint Marc :
« Ô bienheureux Marc, prédicateur de la Parole, que tes enseignements nous soient toujours profitables. »